William T. Shavy | I will find you...

William T. Shavy

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Sujet: William T. Shavy | I will find you...

Dim 4 Avr - 18:51

What do you have
In Mind and Body... ?

William T. Shavy | I will find you... 130479Sans_titre_1

feat Hugh Dancy
© Cam

Nom : Shavy
Prénom(s) : William Thomas
Date de naissance : 12 juin 1931
Âge : 79 ans
Profession : Professeur de langue à l’Université et photographe à ses heures perdues
Nationalité : Américaine
Groupe : Ange

Caractère :

Apparence Physique :

Signe(s) Particulier(s) :

Manie(s)/Tic(s) :

What do you like
In The Life... ?

►

Un Livre

◄

Une Musique

►

Un Film

◄

Une Odeur

►

Un Lieu

◄

Un Rêve

►

Un Souvenir

◄

Une Peur

Me , Myself and I
More about my perfection...

Pseudo/Prénom :

Âge :

Ancienneté en Rp :

Comment avez-vous connu le forum ? :

Comment le trouvez-vous ? :

Code du règlement :

Ok =)

Autre chose à dire ? :

Dernière édition par William T. Shavy le Dim 4 Avr - 20:08, édité 2 fois

William T. Shavy

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 18:53

Tell me What's Happened... ? ► Histoire : 12 juin 1931. Pleine crise économique aux Etats-Unis, comme dans bon nombre de pays européens. Jonathan Shavy avait la chance d’avoir un emploi stable qui lui assurait un salaire régulier lui permettant de prendre soin de sa femme. Lisa était enceinte et les deux futurs parents attendaient avec impatience la venue de leur bébé. Si c’était une fille, tous deux étaient d’accord pour l’appeler Lorelei, mais si c’était un garçon, leurs avis divergeaient. La mère aimait William et le père préférait Thomas. Ils se mirent d’accord sur le nom à donner à leur descendance lorsque Lisa accoucha d’un petit garçon en toute fin d’après-midi. William Thomas Shavy était né. L’enfant fut choyé durant dix années complètes, peut-être même un peu trop. Enfant unique, il avait toujours toute l’attention de ses parents, notamment de sa mère qui était femme au foyer. Jonathan gagnait suffisamment d’argent pour les faire vivre tous les trois. Le rituel voulait que chaque dimanche, ils aillent se promener loin de la ville, en forêt, et tous les dimanches étaient des jours merveilleux pour le petit William. Fin 1941. La seconde guerre mondiale avait débuté il y avait de cela deux années déjà, mais les Etats-Unis ne s’étaient mêlés au conflit que plus tard. Jonathan Shavy s’était engagé volontairement dans l’armée sur un coup de tête, léguant son affaire à sa femme le temps de son service militaire. Malgré les protestations, les supplications de Lisa qui ne comprenait pas la décision de son mari, ce dernier parti cheminer aux côtés de sa mort. Durant deux mois, la femme reçut régulièrement des lettres de Jonathan, mais la correspondance s’arrêta brusquement à la fin du deuxième mois. Durant tout un long mois, le petit William, âgé d’alors dix ans, vit sa mère dépérir par l’absence de nouvelles de l’homme qu’elle aimait. Le 1er avril 1942, ils reçurent enfin une lettre, mais la missive ne portait qu’une très mauvaise nouvelle. Jonathan Shavy était mort au combat. Une vie de deuil ne suffit pas à Lisa pour se remettre de la perte et depuis ce 1er avril 1942, le garçon déteste le jour des farces. William resta auprès de sa mère jusqu’à ses dix-neuf ans pour lui porter du soutient, mais il finit par quitter la maison pour s’établir plus près de l’université où il étudiait afin d’échapper à l’atmosphère pesante qui régnait chez lui. Chaque jour lui rappelait que quelqu’un manquait et il n’arrivait pas à s’épanouir complètement, même s’il était de nature plutôt renfermée. Il l’avait rencontrée un matin au bord de mer. C’était un de ces matins où tout va bien, même si le soleil se cache dans la brume. Un de ces matins où la pire des merdes peut vous arriver, de toute façon vous vous en foutez. Un de ces matins qui vous fait aimer la vie. C’était la première fois qu’il allait sur la côte, il n’avait jamais vu l’océan si ce n’était qu’en photo. Il n’avait jamais sentit le vent marin le gifler. Il n’avait jamais respiré aussi profondément cette odeur d’iode si particulière du bord de mer. Il n’avait jamais enfoncé ses pieds nus dans le sable humide et collant. Il n’avait jamais eu peur de se faire submerger par une vague plus haute que les autres. Il ne s’était jamais sentit vivre comme il le faisait à ce moment là. William était entré dans l’eau en bermuda et en T-shirt alors que tout le monde se promenait bien emmitouflé dans son manteau d’hiver sur le chemin prévu à cet effet, qui surplombait la plage. Il riait de bonheur en se faisant recouvrir par les rouleaux, chaque fois surprit par la vitesse à laquelle ils se déplaçaient. Et puis il l’avait aperçue. Au loin. Tournant le dos à l’infini bleu, il la fixait, la laissant l’observer à sa guise. Ce jour-là, il s’était mis à croire à l’existence des anges. Mais elle n’en était pas un et ce ne fut que bien plus tard qu’il s’en aperçut. Toujours est-il qu’il se fit plaquer au sol par une vague qui s’était élevée dans son dos, et durant un court instant il eut peur de ne plus jamais revoir cette inconnue. Lorsqu’il se releva, affolé, cherchant de tous les côtés, il la vit qui s’éloignait vers les rues goudronnées, fuyant la nature sauvage du bord de mer. Aussitôt, sans réfléchir à ce qu’il faisait, William courut après la femme, manquant à plusieurs reprises de tomber et de se faire mal, s’écorchant les pieds nus sur les cailloux qui séparaient le sable du bitume, faisant se retourner plusieurs personnes étonnées sur son passage. Mais il la rejoint finalement et ralentit sa course en arrivant à son niveau pour calquer son pas sur le sien. Ils marchèrent ainsi assez longtemps sans parler, remontant une longue rue, alors que le froid de l’hiver faisait trembler le jeune homme. Mais il sentait qu’il devait la suivre parce qu’elle pouvait changer sa vie. A un croisement de rues, elle s’arrêta devant un café et, sans un regard pour celui qui la suivait, entra au chaud. Sans hésiter, il la suivit et s’assit à sa table, face à elle. Peut-être était-elle une habituée, mais un serveur lui apporta deux chocolats brûlants et une couverture. Le plaid et la deuxième boisson étaient pour lui. Ce ne fut qu’à ce moment là qu’il s’aperçut qu’il était transit, mais il n’en avait que faire. Il préférait attraper une pneumonie et rester auprès d’elle plutôt que de rentrer se changer et la perdre à jamais. Aucune parole n’avait été prononcée, il se contentait de la regarder. Un pacte silencieux avait été signé entre eux. Il pouvait rester avec elle s’il ne posait pas de questions. Les réponses viendraient d’elles-mêmes au fur et à mesure qu’ils se côtoieraient. Et il ne savait pas pourquoi, mais il avait besoin d’elle. Oh, ce n’était pas de l’attirance physique, bien au contraire ! Elle n’avait pour ainsi dire presque rien pour elle. De taille moyenne mais maigre, ses joues étaient creuses et sa peau trop pâle virait vers le gris. De longs cheveux bruns descendaient en cascade sur ses frêles épaules, mais ils n’étaient pas beaux. Secs et cassants, ils étaient tout emmêlés et leur couleur était terne, sûrement pas brillante comme on pouvait la voir sur les couvertures de magazines. Ses lèvres gercées étaient pincées et ses longs doigts fins, squelettiques presque, les palpaient nerveusement comme si elle avait peur de les perdre. Dans ce portrait pathétique, seuls ses yeux ressortaient. Leur couleur claire était à l'opposée des ténèbres de son esprit torturé et offrait à qui savait bien observer ses secrets les plus profonds. William avait su lire dedans alors qu’ils étaient séparés d’une cinquantaine de mètres. Il avait deviné qu’ils avaient besoin l’un de l’autre. Emily se droguait. Elle était tombée dans la dépendance deux ans auparavant et personne n’était venue l’aider, mais elle avait tenu le coup, elle ne s’était jamais laissée totalement sombrer. Et puis il était arrivé sans prévenir. Il était là pour l’aider à faire demi-tour. « On va y arriver, Lily, on va s’en sortir » qu’il lui disait. Parce qu’ils ne faisaient plus qu’un pour réussir à s’échapper de ce monde d’illusions. Mais il avait beau faire tous les efforts possibles et inimaginables, elle allait de plus en plus mal. Non pas qu’elle ne veuille pas respirer par elle-même, mais plutôt qu’elle n’y arrivait pas. Elle aurait tant souhaité faire plaisir à William en parvenant à oublier la drogue… Mais c’était impossible. Elle ne pouvait pas se débarrasser de cette saloperie si facilement. Alors elle faisait attention. Jamais quand il était avec elle. Et elle connaissait sa dose seuil. Même si le manque se faisait de plus en plus ressentir, elle ne la dépassait jamais. C’était dur, très dur, mais elle savait qu’il y avait quelqu’un avec elle, pour la soutenir. Elle voulait paraître forte, qu’il soit fier d’elle. Et il l’était, mais elle ne le méritait pas. Lui non plus, ne méritait pas une vie comme celle qu’elle lui offrait. Il méritait mieux. William lui donnait sans recevoir, il encaissait chacune de ses crises sans broncher, l’aimait plus que de raison. Elle, elle se contentait de lui sourire pour cacher son mal. Elle lui mentait pour ne pas qu’il souffre. Un jour elle ne tint plus. Ce n’était plus possible de vivre comme ça. Six ans qu’elle se retenait de faire le grand saut. six ans qu’elle souffrait de plus en plus chaque jour qui passait. Six ans qu’ils se connaissaient. Six ans de vie qu’elle lui devait. Six ans à aimer comme elle n’avait jamais aimé. Mais à trop aimer, le cœur brûle et se consume, il n’y avait presque plus de combustible, elle devait partir avant de lui faire plus de mal. Alors elle lui avait dit qu’elle voulait se promener seule au bord de la mer. Pour la première et la dernière fois depuis six ans, elle allait se permettre un écart. Qui lui serait fatal, elle le savait. Mais elle l’avait choisit. Pouvait-on appeler cela une belle mort que de sourire vrai avant de s’éteindre ? Pour Emily, oui. Elle savait que William lui pardonnerait… Il avait passé deux jours à l’attendre. Cela lui arrivait de s’absenter ainsi et il ne s’inquiétait jamais plus que de raison. D’habitude. Mais cette fois-ci était différente. Elle lui avait sourit avant de partir. Elle l’avait embrassé sur le front comme si elle avait voulu le protéger. Elle lui avait dit qu’elle l’aimait. Pour la première fois. Mais il n’avait pas voulu la suivre car il savait qu’elle ne lui aurait pas pardonné s’il l’avait fait. Aussi avait-il attendu. Et le soir du deuxième jour, il avait ouvert le tiroir de la commode de leur chambre. Elle lui avait laissé un mot. « Je t’aime. Je suis désolée. » Le mois qui suivit fut long et sombre. William passait ses journées enfermé dans sa chambre, volets clos. Le téléphone était débranché et la porte fermée à clefs. Il s’affaiblissait petit à petit, ne mangeant presque rien. Puis un jour, sans prévenir, il rouvrit le tiroir de sa commode, sortit un T-shirt, une chemise et un jean propres, s’habilla, et sortit. Il fut obligé de s’arrêter au bout de deux pas, aveuglé par la lumière du soleil qu’il n’avait pas vue depuis longtemps. Quand il y fut habitué, il remonta sa rue pour arriver à un croisement, appela un taxi et demanda à se faire déposer dans le quartier le plus mal famé de Manhattan. Trouver un dealer ne fut pas difficile et lorsqu’il s’approcha, il fut rapidement entouré par toute une bande des trafiquants. Prenant son courage à deux mains, il s’approcha de l’un d’eux pour lui demander s’il connaissait une certaine Emily, morte un mois auparavant. La seule réponse qu’il reçut fut un coup de couteau dans le ventre. Affaiblit par son jeûne, il s’écroula et rendit vite l’âme. On racontait que lorsque l’on meurt, on voit sa vie défiler devant ses yeux, ou alors on voit un long tunnel avec de la lumière au bout. Mais ce n’était rien de tout cela. Juste le néant. Le néant et une présence. Ou plutôt deux. Comme si deux personnes étaient là, près de lui, sans qu’il puisse les voir. Des soupirs, des murmures aussi, mais rien d’autre. Après tout, est-il réellement mort ? Peut-être que tout cela n’est qu’un rêve… Il suffit de vouloir se réveiller, d’y penser très fort. Mais il n’arrive pas à penser. C’est le néant. Au début, en se réveillant, William pensa qu’il avait juste rêvé, qu’il s’était endormit dans un par cet venait de s’y réveiller. Mais quelque chose n’allait pas. Il ne se souvenait pas être venu dans ce parc. Il ne connaissait pas ce parc, en fait. Autour de lui, les gens le regardaient bizarrement. Il fallait dire qu’il était allongé au beau milieu de l’herbe alors qu’une pancarte spécifiait « interdit de marcher sur l’herbe ». Et puis il était tâché aussi. Ses habits étaient rouges du sang qu’il avait perdu dans son rêve, et sa chemise et son T-shirt étaient déchirés. Soudain, le doute l’envahit. William se releva et regarda sous son T-shirt. Une énorme cicatrice barrait son abdomen. Il n’avait pas rêvé. Mais alors, que faisait-il ici dans une ville qu’il ne connaissait pas, et toujours vivant ? Vivant… Tous les souvenirs lui revinrent en même temps. Il était mort et son âme avait été jugée bonne. Dieu l’avait accueillit près de lui, lui offrant l’immortalité à condition qu’il revienne faire le bien parmi les humains. Il n’était donc pas réellement mort, juste figé dans ses vingt-huit ans. Il était un Immortel. Et il venait de comprendre que lorsqu’il avait rencontré Emily, elle n’était pas encore un ange. Mais, et maintenant ? Elle était morte, comme lui, avait-elle alors eu la possibilité de revenir ? Il en était certain. William Thomas Shavy commença une nouvelle vie. Il poursuivit ses études pour enseigner les langues en université mais veilla à ne pas se renfermer comme il l’avait fait quand il était humain. Il avait un nouveau point de départ et devait en profiter. Quand il eût finit ses études, il enseigna quelques années puis fit une pause. Il ne pouvait pas rester sans attirer les soupçons. Quelqu’un qui ne vieillit pas n’est pas quelqu’un de normal. Alors il décida de travailler pour son propre compte. Enfin, quelque chose comme ça. Cherchant une activité, il se découvrit un talent de photographe. Il pouvait envoyer ses photos sans pour autant se montrer, et ainsi passer inaperçu. Pendant ce temps, il chercha. En ville, dans les environs, il chercha. Emily pouvait être là, il avait une chance de la revoir et il pensait qu’ils pourraient refaire leur vie à deux. Il le voulait. Aujourd’hui, il a reprit son post de professeur de langue à l’université de Philadelphie, personne n’a fait le rapprochement entre le William Thomas Shavy d’il y a cinquante ans et celui de maintenant. Qui oserait croire à la présence d’un Immortel ? ◄ Anecdote Insolite : William achète un bouquet de fleurs une fois par semaine et l’offre à la première personne qu’il croise en sortant de chez le fleuriste. ► Comment est-il/elle devenu(e) Immortel ? : La curiosité. L’incompréhension. Il voulait savoir. Savoir pourquoi. Savoir comment. Mais c’était une erreur… En effet, s’aventurer dans les quartiers mal famés de Manhattan pour y trouver des dealers, ce n’était pas l’idée du siècle. Mais il s’était déjà renseigné auprès des médecins, ils n’avaient pu que lui donner le diagnostic de l’overdose. Et pour lui ce n’était pas suffisant. Il savait qu’Emily se droguait, elle était de ce milieu bien avant leur rencontre, mais elle savait ce qu’elle faisait. Bien sûr qu’elle était dépendante, et elle s’en rendait compte, mais pour William elle essayait de s’en sortir, de ne pas sombrer… Et pourtant. Alors quand il leur a demandé pourquoi, pourquoi est-ce qu’elle avait fait cette overdose, l’un des trafiquants s’est approché de lui en lui faisant un signe, comme s’il voulait lui confier un secret. Le secret de la mort. Le dealer a sortit un poignard de sa manche et a enfoncé la lame dans le ventre de William, ouvrant une profonde blessure tout le long de son abdomen, perforant ses organes. Puis il s’est reculé, l’a laissé tomber et tous se sont enfuis. Le corps n’a été retrouvé que le lendemain en fin de matinée. Il a été conduit jusqu’à la morgue de l’hôpital le plus proche, puis oublié. William s’est réveillé quelques heures après sa mort, dans un parc d’une ville où il n’était jamais allé. Mais il savait qu’il n’était plus humain.

Ezeckiel A. Lynd

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:23

Ma chériiiiiie Je ne peux que te valider. J'aime beaucoup ta fiche et ton William ! Ez' pourrait l'aider à retrouver Emily, elle connaît plein de monde =) Enfin avant ça faut la trouver et la convaincre xD (et que moi je fasse sa fiche ) Tu peux commencer à jouer ma belle, bienvenue sur le forum

William T. Shavy

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:30

En effet, j'ai vu que la fiche n'était pas encore faite... Vilaine fille ! xD Pour ma part je suis en train de faire la fiche d'Emily, mais ce sera très probablement une démonne... J'ai envie d'offrir un bouquet de fleurs...

Ezeckiel A. Lynd

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:32

Ah donc Emily sera un scénario, intéressant J'veux bien des fleurs moi grands yeux de cocker

William T. Shavy

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:36

Tu aimes les amaryllis ? (Oui, je crois que je vais faire tout l'alphabet xD)

Ezeckiel A. Lynd

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:37

Je dirais même plus : J'AIME

William T. Shavy

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Dim 4 Avr - 20:40

(Le flood sur ma propre fiche... C'est mal... Mais c'est pas grave !)

Sarah L. Dawson

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L'école c'était pas pour Sarah. Une vie stable ? Elle ne connait pas.
La seule chose qui compte pour elle, c'est sa famille. Le reste, c'est secondaire.

Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you... Lun 5 Avr - 3:53

Je lirais demain, là je suis trop HS xD Edit : Très belle fiche. Jolie histoire. J'aime beaucoup.

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Sujet: Re: William T. Shavy \| I will find you...